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Trop ennemi du bon

 

Dans tous les domaines de notre vie, la notion du trop est devenue une habitude de vie, à l’origine de nombre de nos souffrances.

Nous voulons toujours faire plus, avoir toujours plus et toujours plus vite.

Plus pour répondre au besoin sociétal, par peur du jugement, du regard et peurs associés : peur de ne pas être ou plus aimé, peur du manque…

A ces peurs, s’ajoute notre difficulté à nous libérer du sentiment de devoir être parfait pour Tous et en Tout, à vouloir et devoir être au Top tout le temps.

Plus nous sommes dans le devoir être parfait et au top tout le temps, plus nous créons des mécanismes de fonctionnement, qui nous amène, progressivement, au trop, dans tous les domaines de notre vie, avec parfois trop de jugement, vis-à-vis de soi, des autres.

Le trop est à l’origine de nos déséquilibres, physique, physiologiques, de notre mal-être et de notre perte de sens.

Plus nous sommes dans le trop, plus nous sommes dans l’excès.

Nous associons souvent l’excès à l’excès d’alcool, de vitesse, alors que les excès sont dans nombre de domaines de notre vie par le trop, par une trop grande quantité, un trop vite, trop jeune…

Dans l’excès, nous perdons notre capacité à être à l’écoute de nos ressentis, notre corps, rencontrons difficulté à ralentir, nous arrêter, nécessaire à la prise de recul, nous concentrer pour mieux définir nos besoins.

Nous sommes pris dans un tourbillon, avec le sentiment que plus nous allons en faire, plus nous allons obtenir ce que nous voulons, plus nous allons avoir, plus nous serons en sécurité. Sécurité matérielle, comme sécurité affective, familiale, sociale, par conformisme et pour ne pas décevoir nos Parents, nos enfants, nos amis.

Nous sommes dans la course pour satisfaire nos attentes avec l’espoir que tout ira mieux demain par nos actions et pour nous prémunir d’aucun reproche.

Nous pouvons, ainsi, vouloir le trop pour être performant, perfectionniste et être perçu comme tel pour éviter critiques, rejet, abandon.

Le trop est parfois, également, consciemment et ou inconsciemment, une forme d’activisme, un refuge pour ne pas penser à ce qui nous préoccupe.

Nous pouvons, ainsi, créer dépendance à nos activités multiples, nous rendent esclave, en souffrir mais continuer à nous activer, au détriment de notre équilibre, de notre possibilité à trouver solution, pour transformer toute situation en opportunité d’évolution, pour notre bien-être.

En voulant toujours être au top pour Tous et pour Tout, nous sommes ainsi dans le trop donné de nous-même comme pour autrui.

Trop donner de notre personne est source d’épuisement et le chemin du burn-out. Trop d’épuisement et de perfection nous éloigne bien souvent de volonté de bien faire.

Trop d’activités nuit à l’efficacité, crée un trop au sein de notre esprit. Nous pouvons avoir plusieurs objectifs à réaliser pour, finalement, tout commencer et ne rien finir ou ne rien mettre en œuvre, ne voyant plus par quoi commencer. Tout semblant intéressant, attractifs.

Pouvoir tout faire, vouloir tout, renoncer à rien, jouir du maximum crée sentiment de puissance par la sensation de tout maîtriser, de réussite, nous renvoie à l’excellence et à la performance, voir à l’héroïsme.

Cette situation altère ainsi notre la capacité à choisir nécessaire pour aller à l’essentiel, voir déléguer.

Nous faisons tout pour nous assurer que tout sera fait comme nous le souhaitons et plus vite, dans le délai imparti, fixé par nous-même ou par autrui.

Le trop crée vitesse et précipitation tout comme vitesse et précipitation nous amène à trop faire, trop consommer…

Le trop nous renvoie sentiment de puissance, par sentiment de valorisation, nous fait oublier nos ressources, nos potentiels, crée difficulté à accepter nos limites physiques, psychiques neurologiques, à les dépasser, voire à les occulter au détriment de notre santé, notre bien-être.

Il n’y a pas d’échelle de définition du trop, le trop est propre à chacun de nous, mais nous sommes tous dans le trop, lorsque nous sommes irritables, fatigués, agités, énervés et si nous sommes dans la joie et l’enthousiasme pour autrui, avant d’être joie pour nous-même.

Autant de situations qui nous amènent à, consciemment et inconsciemment, demander à notre entourage, y compris nos enfants, à aller, également, plus vite, à gagner en autonomie plus vite et plus rapidement, en écho aussi à la notion de performance.

Notre trop nous empêchent de passer du temps avec nos enfants, les amènent, même si nous leurs reprochons de passer trop de temps sur les écrans, à être moins à l’écoute de leurs activités, leurs relations, parfois au détriment de notre besoin de vigilance, en fonction de leur âge, des programmes auxquels ils sont accès, de leur environnement.

Le trop pour l’Adulte comme pour l’Enfant est une source d’isolement, comme il peut être un moyen d’avoir de nombreuses relations, pour combler manque, comme avoir le sentiment d’exister.

Or, le trop nous encombre, nous alourdit, altère notre libre-arbitre, mène à la perte de sens, impacte nos capacités neuronales, crée conflits et dualités en nous.

Le trop crée l’oubli de soi, nous éloigne de notre authenticité de nos rythmes biologiques.

Notre sentiment d’existence devient un leurre.

Un leurre, nous n’existons plus par et pour nous-même, nous existons en réaction aux événements et situations.

Le juste au quotidien, dans nos pensées, nos paroles et nos actes est essentiel à notre équilibre, nous libère de tout trop pour revenir au bon et juste pour nous, permet d’exprimer le meilleur de nous, de donner sens à notre vie, avec joie et enthousiasme, crée bonne relation à soi et avec les autres, préserve notre santé, pour notre épanouissement, la préservation de notre humanité.

Et vous quel est votre regard ?

 

Outils d’aide :

Se libérer du passé pour nous libérer du trop à l’origine du besoin de combler nos manques

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Se libérer du trop par contentement, l’appréciation du juste et bon pour soi

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S’autoriser au calme mental pour se libérer du trop, revenir au juste et bon pour soi

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Développer ses potentiels de joie, de paix pour se libérer du trop, être dans le juste et bon

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Apprivoiser son stress, source de nos précipitations, de notre réactivité, de notre trop et trop vie pour le transformer en pensée, paroles, actions justes et bonnes

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Se libérer émotionnellement pour éviter d’être dans le trop consommer, le trop manger, être dans le juste et bon pour soi

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Soulager ses maux physiques, psychologiques, émotionnels, source de compensation par le trop, être dans le juste et bon pour soi

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Lâcher-priser pour éviter de combler nos expériences vécues douloureusement par le trop, être dans le bon et juste pour soi

Se procurer  l’outil d’aide

Se libérer d’une situation désagréable, pour éviter de la traverser en comblant insatisfaction par le trop, revenir dans l’appréciation, le juste et le bon

Se procurer  l’outil d’aide

S’accorder plénitude et silence pour éviter comportements compulsifs, réactifs, être juste et bon avec soi

Se procurer  l’outil d’aide

Accepter son unicité pour se libérer du conformisme source notre trop, pour être authentique, juste et bon avec soi

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Avoir confiance en soi pour révéler sa prospérité, être prospère

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Avoir estime en soi pour révéler sa prospérité, être prospère

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S’ouvrir à l’amour inconditionnel pour nous libérer de nos manques, source de notre trop, être dans le juste et bon pour soi, les autres

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Méditer pour revenir à l’essentiel au juste et bon

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Se relier aux sons de la nature pour revenir à l’essentiel, être dans l’appréciation du juste, du bon

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Cesser de fumer pour être juste et bon avec soi

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Remplacer son besoin de caféine, se dynamiser par ses ressources pour être bon avec soi

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Réduire tentation chez les sujets dépendants

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