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Souffrir, c’est parfois faire souffrir

C’est bien souvent lorsque nous sommes en souffrance que nous sommes amenés à faire souffrir les autres.

Nous reportons, inconsciemment, nos rancœurs, nos reproches, notre mal-être sur l’autre, et plus particulièrement, sur celui/ceux qui se trouvent à proximité, donc parfois l’être aimé.

Ce mécanisme est un mécanisme acquis, dès l’enfance.

Avant de pouvoir parler, s’exprimer l’enfant reçoit, sans demande particulière, comme être pris dans les bras, un sourire, la satisfaction de ses besoins vitaux, un jouet.

Nous avons ainsi acquis le sentiment que tout nous est dû, nous est donné.

En grandissant, nous apprenons à demander pour obtenir et si nous n’obtenons pas nous manifestons notre attention, par de la colère, des pleurs, des bavardages, une bêtise.

C’est une stratégie d’adaptation pour attirer l’attention, l’expression du manque du sentiment de ne plus recevoir spontanément, gratuitement.

Enfant, nous pouvons nous chamailler avec une sœur, un frère, faire du bruit, bavarder, chahuter, dans les moments de silence… Comportements pour obtenir ce que nous voulons, notre moyen d’expression, inconscient, pour continuer à recevoir, de l’attention, des attentions, sans demande particulière.

Adulte, le début d’une relation amoureuse est un réveil du sentiment de recevoir sans avoir à demander, à notre partenaire, par l’amour qu’il nous témoigne, le temps qu’ils nous accordent, ses délicates attentions.

Or, au fil du temps, comme l’enfant, nous devons exprimer nos besoins, à notre partenaire, comme à ceux qui nous entourent.

Nos besoins sont propres à chacun de nous. Nous sommes des êtres évolutifs, dans un monde évolutif, nos besoins changent. Nous sommes donc seul(es) à pouvoir les exprimer, à les satisfaire.

Attendre d’autrui est source de souffrance et toutes nos frustrations ultérieures sont ainsi des possibilités pour exprimer notre mécontentement, une manière d’attirer l’attention pour demander à l’autre de satisfaire nos besoins, spontanément, sans demande particulière.

Nous interroger sur nos manques est salutaire, pour trouver en nous les moyens de les satisfaire, dans le respect de nos valeurs, par nos choix, nos prises de décision et ainsi ne plus reprocher à autrui nos insatisfactions.

Par la satisfaction de nos besoins, nous nous évitons de nous générer des souffrances, évitons de faire porter aux autres nos blessures, de faire souffrir.

Nous pouvons ainsi être Acteurs/Responsables de nos choix, décisions et accepter que chaque Être a cette capacité, ce potentiel.

En soignant nos blessures, nous nous libérons de tout jugement, prenons soin de nous, sommes bienveillant et respectueux de nous-mêmes et des autres.

Et vous quel est votre regard ?

Se libérer des blessures du passé pour ne pas faire souffrir les autres

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Se libérer de ses peurs, pour lâcher-prise, éviter de faire souffrir

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Se libérer du stress négatif pour éviter de tout contrôler, faire souffrir

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Développer confiance et estime de soi pour éviter de faire souffrir

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Calme, contentement, convergence et créativité. Etre bien pour éviter de faire souffrir

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Récupérer mentalement et physiquement pour ressourcer éviter de faire souffrir

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Attirer le meilleur à soi, pour épanoui(e) éviter de faire souffrir

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Oser être soi pour se libérer de la dépendance affective, source de souffrance

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